La Haute-Loire offre des visages variés. Après être partie à la rencontre du Puy-en-Velay puis avoir grimpé le Mézenc, je me rends désormais tout au nord du département pour passer une journée à Brioude puis à Lavaudieu.
Informations générales
Localisation de Brioude
Brioude est située à 60 km du Puy-en-Velay. Comptez une heure pour vous y rendre depuis la ville ponote (attention, il y a plusieurs radars sur la route donc n’essayez pas de rouler plus vite).
Brioude est, avec la ville d’Yssingeaux, une sous-préfecture de la Haute-Loire.
Ce n’est pas une très grande ville puisqu’un peu plus de 6500 Brivadois y vivent, il s’agit de la 4ème ville de Haute-Loire en terme de population .
La ville de Brioude est située à 400m d’altitude dans la plaine de la Limagne.
En été, vous verrez d’ailleurs de nombreux champs de tournesols le long de la route pour vous y rendre.
Brioude: une ville d'exception
La ville de Brioude est classée parmi les « 100 Plus Beaux Détours de France » donc logique d’aller passer la journée pendant mon séjour en Haute-Loire !
En janvier 2022, la ville de Brioude s’est vue attribuer le label « Ville et métiers d’art » notamment grâce à la tradition de la dentelle au fuseau présentée à l’Hotel de la dentelle.
Office de tourisme de Brioude
Afin de profiter au mieux de votre journée à Brioude, je vous conseille d’aller, après vous être garé, à l’office de tourisme.
Ouvert toute l’année (horaires à consulter sur le site), vous y recevrez de précieuses informations pour partir à la découverte de la ville colorée. Un plan vous sera remis pour ne rien manquer.
Des panneaux dans la ville vous indiquent également les lieux d’intérêt.
En ce qui me concerne, le programme sera le suivant:
- basilique Saint-Julien
- exposition Ernest Pignon Ernest au Doyenné
- Maison du Saumon et de la Rivière
Ayant précédemment visité le musée des manufactures de dentelle à Retournac, je ne visiterai pas cette fois-ci l’Hôtel de la dentelle. Je vous parlerai dans un prochain article de cette tradition séculière.
La Basilique Saint-Julien
Lorsque l’on approche de Brioude, on voit de loin la belle basilique Saint-Julien et son clocher.
L’office de tourisme étant au pied de la basilique, elle sera donc ma première visite de la journée !
L'histoire de la basilique Saint-Julien
En 304 après JC, le soldat romain Julien, converti au christianisme, mourut décapité pour sa foi . Un tombeau fut alors construit, ce qui incita de nombreux chrétiens à venir en pèlerinage jusqu’à Brioude.
En ces lieux se sont succédées plusieurs églises. Puis au XIème siècle débuta la construction de l’église Saint-Julien. Elle connut au fil des siècles de nombreux agrandissements et modifications.
Prosper Mérimée écrivit, lors de sa visite en 1837, qu’il s’agissait d’« une église byzantine d’un grand caractère, qui malgré tout ce qu’elle a souffert, peut être encore rangée parmi les édifices les plus remarquables que compte l’Auvergne ». C’est donc logiquement qu’elle fut inscrite aux monuments historiques en 1840.
Ce n’est que le 26 avril 1957 que le pape Pie XII a élevé l’église Saint Julien au rang de basilique.
Architecture extérieure
Ce n’est pas la première église romane que je visite en Auvergne. J’ai déjà découvert , l’abbatiale Saint-Austremoine à Issoire, la basilique Notre-Dame du Port à Clermont-Ferrand mais aussi la basilique Notre-Dame d’Orcival et l’église Notre-Dame du Cornadore à Saint-Nectaire.
La basilique Saint-Julien de Brioude est la plus grande des églises romanes d’Auvergne.
Et c’est la première fois que je me trouve devant une église aussi colorée !
Sa couleur rouge attire immédiatement le regard ! Enfin rouge mais pas que ! En effet, ce qui surprend, c’est sa polychromie. Grès rouge, roche basaltique noire, grès calcaire blanc, granulite, et d’autres matériaux encore, ont été utilisés pour sa construction.
A l’arrière de l’édifice, comme dans de nombreuses églises romanes, on retrouve le chevet avec les absidioles et chapelles rayonnantes. On y voit un ensemble de plusieurs petites toitures avec des tuiles romaines.
Une frise polychrome avec des rosaces alternant grès blanc et roche volcanique habille le chevet comme à Issoire.
A noter que les fenêtres du déambulatoire et des chapelles rayonnantes sont encadrées de colonnettes à chapiteaux.
De nombreuses sculptures accompagnent les sous-bassements des toitures.
Le massif occidental de la basilique est quant à lui beaucoup plus sobre que le chevet. Il est très grand et on se sent tout petit à ses pieds !
Il possède un clocher dont la forme est bien différente de celui côté chevet qui est octogonal.
Les trois portes de la façade n’existaient pas au Moyen Âge. La façade a été arrangée à la manière des grands édifices français au XIXème siècle.
A l'intérieur de la basilique
La première chose qui m’a frappée en entrant dans la basilique est la présence, également à l’intérieur, de la polychromie. C’est la première fois que je vois notamment des piliers de plusieurs couleurs. Couleurs des différentes pierres utilisées pour la construction mais aussi lumières créées par les vitraux contemporains de la basilique.
Je suis également frappée par la hauteur des voûtes.
A l’origine en berceau selon la tradition romane, il ne reste plus que des voûtes arrondies dans la partie basse de l’église .
Les voûtes du plafond ont, en effet, été par la suite remplacées par des voûtes en croisées d’ogives .
Le sol est également surprenant. Il s’agit d’une exceptionnelle mosaïque de motifs géométriques ou allégoriques. Entièrement réalisée en galets noirs et blancs provenant de la rivière Allier toute proche, ces derniers ont été « bloqués » à l’aide de mortier de chaux. Ce pavage était enfoui 40cm sous un autre pavage qui a été retiré en 1964 pour rétablir le pavage d’origine.
Au Moyen-Age, nombreuses étaient les églises dont les murs, les piliers, les chapiteaux étaient peints. Il s’agissait avant tout de rendre accessibles au peuple les Evangiles. Une grande partie de la population ne savait pas lire et comprenait mal voire pas du tout le latin. Les fresques permettaient ainsi au commun des mortels de connaître la vie des saints, les martyrs, le paradis et l’enfer… Elles avaient un rôle d’enseignement.
Longtemps recouvertes de badigeon, ces fresques ont été patiemment remises à jour et restaurées.
Le plus bel exemple de fresques médiévales est la chapelle Saint Michel. Uniquement accessible en visite guidée par un petit escalier en pierre, elle est située au niveau de la tribune. Il s’agissait de la chapelle funéraire des chanoines-comtes de Brioude. Peinte à la fin du XIIème siècle, le décor est fortement influencé par l’héritage de l’empire byzantin en occident.
J’ai été surprise de découvrir que les fresques recouvraient aussi bien les murs que les voûtes.
Il y est question du Jugement dernier où apparaît le Christ en Majesté accompagné du Tétramorphe (représentation des quatre évangélistes: le lion pour Saint-Marc, le taureau pour Saint Luc, l’aigle pour saint Jean et l’ange de Saint Matthieu). Autour d’eux, on voit des centaines d’anges avec des vêtements et des attributs différents.
On y voit aussi l’Enfer représenté par des silhouettes grisâtres.
Avant de sortir de la basilique, je descends dans la crypte. C’est là qu’est rappelée l’histoire de Saint Julien. C’est là que sont entreposées les reliques du Saint.
Le choeur de l’église se situe exactement au-dessus du lieu où son corps de martyre fut déposé.
En sortant de la basilique, je me suis rendue compte que le parvis et tous les alentours étaient en galets jointés comme dans l’église. Je n’y avais pas fait attention en arrivant.
Le Doyenné de Brioude
Informations générales
Une fois sortie de la basilique Saint Julien, je poursuis ma journée culturelle.
Direction cette fois-ci le Doyenné, à quelques pas de là, un espace d’art moderne et contemporain installé dans un bâtiment inscrit également aux monuments historiques.
Depuis 2018, des expositions présentant des artistes mondialement connus sont proposées au public. C’est ainsi que Marc Chagall, Joan Miró, Nicolas de Staël, Picasso y ont été exposés.
Depuis le 1er juillet et jusqu’au 15 octobre, la magnifique exposition « Echo du monde » montre le travail exceptionnel d’Ernest Pignon-Ernest.
Tarifs été 2023
8€ : plein tarif
6€: communauté de communes Brioude/ Festivaliers de la Chaise-Dieu, groupe de 10 personnes
4 €: moins de 18 ans, PMR, demandeurs d’emplois
Gratuit: moins de ans et groupes scolaires
5€: visite guidée (réservation obligatoire)
L'exposition "Echo du monde"
L’exposition s’articule autour de plusieurs parcours qui permettent de comprendre le travail d’Ernest Pignon-Ernest. J’ai eu la chance d’avoir une visite guidée très intéressante menée par la guide Grisel.
Rez-de-chaussée
Au rez-de-chaussée, on découvre des oeuvres traitant des épidémies, de la maladie en lien avec les Saints Purgatoires. On apprend comment Ernest Pignon se rend sur place, analyse les lieux, les photographie pour intégrer au mieux ses créations en respectant leur atmosphère.
Ernest Pignon est autodidacte, il n’a pas fait d’école d’art.
A travers son travail, il invite à la réflexion. Il propose des images qui interpellent, font s’interroger. Ce sont des questions qui cherchent à toucher les sociétés (comme ses collages sur « Pasolini assassiné »).
Il a également réalisé un travail sur la mémoire des hommes comme lors de créations portant sur des détenus. « Ecce homo », voici l’homme, une expression qui colle au travail d’Ernest-Pignon-Ernest.
On découvre son processus de création: tout d’abord des esquisses, puis des collages d’images, l’obtention d’une image finale qui est ensuite sérigraphiée. L’ultime étape est l’installation sur des sites soigneusement choisis par l’artiste. L’oeuvre installée est éphémère, le papier très fin réagit à la texture du support sur lequel il est collé. Il vieillit avec le temps qui passe mais aussi avec la météo.
A l'étage
A l’étage, dans la première salle, sont installées des créations dédiées à Jean Genet.
Présenté sur l’un des collages en position christique, on ressent la pesanteur. Ernest Pignon cherche à incarner le poète dans sa nature et pour avoir une représentation réaliste du corps, il a même travaillé avec 3 danseurs.
Il a voulu le représenter dans un lieu qui représentait le poète et a travaillé le moindre détail en ajoutant par exemple de la craie pour apporter de la lumière.
Un peu plus loin, c’est Mahmut Darwich, un poète palestinien qui est mis à l’honneur. Un poète connu pour son engagement au sein de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).
Habituellement, Ernest Pignon installe ses collages « clandestinement » alors que pour ce poète, il a collé en plein jour. Une action qui touchait l’âme des Palestiniens même si Ernest Pignon affirme qu’il n’est pas un artiste engagé.
Dans la deuxième salle, deux autres poètes sont mis à l’honneur: Gérard de Nerval et Robert Desnos (né sous le signe du métal, de la tour Eiffel). Dans cette oeuvre, les deux artistes sont reliés. C’est une oeuvre très détaillée qui montre qu’Ernest Pignon lit beaucoup, se documente pour glisser des clés qui révèlent le passé, permettent de retrouver la mémoire.
C’est ainsi que l’oeuvre a été collée à 3 mètres de l’endroit où Gérard de Nerval s’est suicidé et que près de Robert Desnos, des clous rappellent le camps de concentration de Theresienstadt dans lequel il est mort du typhus le 8 juin 1945. De nombreux détails dont il faut chercher la signification.
D’autres artistes comme René Char, Pablo Neruda mais aussi Arthur Rimbaud ont inspiré Ernest Pignon. C’est d’ailleurs le célèbre dessin du jeune poète collé près de 400 fois qui a servi pour l’affiche de l’exposition « Echo du monde ».
Grâce à cette visite guidée, j’ai appris énormément de choses sur cet artiste! Cette exposition et les explications données m’ont donné encore plus envie d’en apprendre davantage.
Suite de la journée à Brioude
Pause déjeuner
Inutile de vous dire que ces visites m’ont ouvert l’appétit ! Vous aurez l’embarras du choix en matière de restaurant.
En ce qui me concerne, je voulais quelque chose de rapide et je voulais manger avec une vue sur la basilique Saint-Julien qui m’a tant plu.
Il faisait chaud, j’ai donc décidé de manger simplement une salade à la Pizzéria « Et caetera ». Je n’ai pas regretté car j’y ai été très bien accueillie !
Petite balade dans la ville de Brioude
Mon prochain lieu de visite n’est qu’à quelques centaines de mètres. Je m’y rends donc à pied. Je pourrai ainsi découvrir les petites rues, les maisons colorées de Brioude.
Maison du Saumon et de la Rivière à Brioude
Comme vu précédemment, la ville de Brioude se trouve près de la rivière Allier. Pas étonnant d’y trouver de ce fait « la Maison du Saumon et de la Rivière« . Un lieu où vous découvrirez la faune de cette rivière auvergnate.
Informations pratiques
Voici les horaires et jours d’ouverture ainsi que les tarifs pour pouvoir visiter l’aquarium.
La visite de l'aquarium
Ce ne sont pas moins de 800 poissons que vous découvrirez dans les différents aquariums. Truites, poissons chats, ombres, saumons et bien d’autres qui peuplent la rivière Allier.
Après avoir découvert toutes ces espèces de poissons, une exposition présente la batellerie et l’histoire de la pêche au saumon. Autrefois ces poissons étaient très nombreux dans la rivière. La quantité de saumons pêchés étaient très importante, on ne s’inquiétait pas de la surpêche!
Les pêcheurs amateurs attendaient tranquillement les saumons avec leur canne à pêche. Une fois que le poisson était ferré, commençait parfois une longue lutte entre l’animal et l’homme.
D’autres pêcheurs s’installaient près des moulins. Ils attendaient les poissons avec des filets mais aussi une fourche munie de crochets appelée « foëne ». Des pièges étaient aussi parfois posés en aval du moulin. Les captures étaient très importantes, c’était à qui pêcherait le plus gros poisson!
Sa présence déclina cependant drastiquement avec l’installation de grands barrages hydroélectriques qui empêchèrent alors les saumons de remonter la rivière pour venir se reproduire.
Finie l’abondance lors des parties de pêche ! Les règles de pêche furent dès lors plus strictes.
Les contrôles furent alors de mise et les contraventions également pour endiguer la pêche du saumon.
Le 1er janvier 1994, un arrêté interdit la pratique de la pêche à la ligne et de la pêche professionnelle du saumon dans tout le bassin de la Loire pour protéger les quelques spécimens restants.
Durant l’été, des activités sont proposées les pieds dans l’eau pour être au plus près des habitants de la rivière. Elle abrite des poissons mais aussi bien d’autres « petites bêtes » qui se cachent dans le lit de la rivière! Vous pourrez également découvrir ces autres habitants dans une exposition.
La Maison du Saumon et de la Rivière accueille toute l’année les groupes scolaires avec des ateliers pédagogiques.
Abbaye de Lavaudieu
D’après les informations recueillies à l’office de tourisme de Brioude, nombreux sont les petits villages à proximité qui mériteraient le détour . Mais je ne dispose que d’une journée dans le Brivadois et celle-ci est déjà bien avancée.
Je décide donc d’aller jusqu’à Lavaudieu à 10 minutes de Brioude. On m’a parlé d’une très belle abbaye qu’il me tarde de vous faire découvrir !
Informations pratiques
L’abbaye ainsi que les visites sont gérées depuis 1969 par l’association « Les amis de Lavaudieu ».
Voici les horaires trouvés directement sur la page de l’association.
Voici les tarifs pour la visite de l’abbaye du 3 mai au 1er octobre 2023:
- cloître avec documents papier: adultes 5€, réduit (étudiants, demandeurs d’emplois, jeunes de 13 à 18 ans) 4 €, enfants de 6 à 12 ans 3€ et gratuit pour les habitants de Lavaudieu, les religieux, les personnes en situation de handicap et leur accompagnant
- cloître avec guide: adultes 7euros, réduit 6 euros, enfants 4 euros et gratuit pour les mêmes personnes que précédemment
Du 1er octobre 2022 au 2 mai 2023, et les mardis en saison, l’association Les Amis de Lavaudieu, vous donnent la possibilité de visiter sur rendez-vous l’abbaye. Il s’agit d’un formule appelée « Visites privatives gourmandes » qui dure 2h30 et réservable à partir de 2 personnes.
L'histoire de Lavaudieu
C’est au XIème siècle que commence l’histoire de l’abbaye de Lavaudieu. A cette époque, Robert de Turlande, le fondateur de la célèbre abbaye de la Chaise-Dieu, décide d’installer au bord de la Senouire un petit prieuré de moniales.
Le prieuré bénédictin s’agrandit au fil des siècles et est élevé au rang d’abbaye au XVIIIème siècle. Mais malgré cette « promotion », lorsque la Révolution éclate, il ne reste plus que 13 moniales dans l’abbaye. Chassées de leur lieu de retraite, l’ensemble comme tant d’autres lieux en Haute-Loire, est vendu comme bien national.
La flèche du clocher octogonal de l’église de Saint-André a été abattue ce qui donne son aspect si particulier au clocher de Lavaudieu.
Les bâtiments servent alors de bâtiments agricoles jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. A la fin de la guerre, on redécouvre cet ensemble abbatial et la restauration débute.
L’ensemble occupe une grande partie du petit village dans lequel il est agréable de se promener avant ou après la visite.
Sachez que pour visiter le cloître, il vous faudra acheter vos tickets d’entrée au niveau du point info tourisme et qu’il faut être à l’heure pour l’ouverture du cloître toutes les 20 minutes. Avant de découvrir le cloître, allez d’abord à la rencontre de l’église Saint-André (c’est de toute façon là qu’il vous faudra attendre pour aller dans le cloître).
Puis vous pourrez découvrir le cloître qui a des dimensions bien plus modestes que celui du Puy-en-Velay et de la Chaise-Dieu. Il ne mesure en effet que 15,65 × 5,50 m. Mais ce cloître a beaucoup de charme!
On imagine les moniales s’y déplaçant silencieusement.
On les imagine se rendant jusqu’au réfectoire, se placer avec dévotion devant cette immense fresque de 7 m par 8. Il y a de cela plusieurs siècles, certaines ont dû regarder la campagne environnante par la fenêtre…
J’ai beaucoup apprécié le fait de pouvoir découvrir des photos d’avant la restauration. Je vous laisse le soin d’aller les voir lors de la visite pour ne pas tout vous dévoiler dans cet article.
Lors du prochain article, nous nous rendrons à Retournac pour découvrir la tradition de la dentelle.
En attendant, n’hésitez pas à laisser un commentaire pour me dire ce que vous avez pensé de Brioude et de Lavaudieu.











12 réponses
Florence , Bonjour ,
Tree belles images come d’habitude ! Et en particulier celles de la Basilique St Julien à Brioude 🙏🕊
Merci beaucoup Frédéric, je n’étais jamais allée cette basilique et j’ai été conquise ! J’aurais aimé y rester encore un peu plus mais j’avais encore tant de lieux à découvrir durant la journée ! Au plaisir de lire tes impressions sur le prochain article 🙂
Une magnifique balade tellement bien commentée et photographiée. j’ai le sentiment d’avoir tout oublié de ma géographie c’est un excellent rappel. Merci Florence pour ce beau moment 🙋♀️🌞😘
Merci Michèle pour ce gentil message ! Je suis contente de voir que tu apprécies les balades que je propose sur ce blog 🙂
Encore un article très intéressent et instructif ( magnifique ).
Merci de nous faire voyager avec toi .
Philippe
Merci beaucoup !
Encore un article très intéressant ! Cette ville a l’air intéressante à découvrir !
Et le cloître, un bel endroit pour prendre le temps.
C’est exactement ce que j’ai fait, j’ai pris le temps dans ce très bel endroit !
Je ne connaissais pas du tout cet artiste, c’était très intéressant ! Et quelle belle basilique, pas étonnant qu’elle soit classée monument historique ! Quant au cloître, très beau aussi. Encore un bel article ! Hâte de découvrir le suivant.
J’ai appris beaucoup de choses sur cet artiste, c’était passionnant ! Et la ville offre beaucoup de lieux à découvrir. Je vous la conseille vraiment !
Il va falloir que je révise un peu car je ne connaissais pas ce classement des « 100 plus beaux détours de France »… Et il faut avouer que ce titre n’est pas usurpé.. Entre la basilique St Julien et son dégradé de couleurs (l’intérieur est spectaculaire du sol au plafond ainsi que les fresques 😍), l’exposition qui mérite une visite, la maison du saumon, enfin l’abbaye de Lavandieu et son cloître… Tout est réuni pour parfaire son enrichissement personnel et en prendre plein les yeux ❤️❤️ le résumé est parfait Florence 👌😘
Je suis contente de te faire découvrir des lieux à travers mes articles. Je ne connaissais pas du tout cette ville et j’ai été conquise !!! C’était la première fois que je voyais une basilique comme celle-ci et je ne savais où regarder tant il y avait de belles choses ! Quant à l’exposition, elle se termine bientôt et je suis vraiment contente d’avoir pu la voir. J’ai raté la biennale d’aquarelles dans les rue de Brioude à quelques jours près. Ce devait être très beau de voir les peintres installés ci et là mais on ne peut pas tout faire lorsque l’on découvre une région. J’espère que tu auras un jour l’occasion de venir en Haute-Loire car c’est un très beau département 🙂